Aujourd'hui, Cessy-Loup nous fait part de son histoire à sa façon, au travers de ses talents d'illustratrice.
(Cessy-Loup j'ai été obligée de diminuer drastiquement la taille de ton fichier et donc la résolution, mais c'était impossible sinon de le mettre en ligne)
(cliquez sur l'image pour voir en plus grand et plus net)
Copyright Cessy-Loup - pas de reproduction ou publication sans autorisation de l'auteure.
Oh j'aime beaucoup, c'est très beau ! Et je n'avais pas pensé à la mutilation de cette façon là. Merci !
RépondreSupprimerAïe aïe aïe, Emma. L'illustration est belle, mais l'automutilation n'a rien d'artistique...
RépondreSupprimerNon pas artistique, mais se mutiler parce qu'on n'arrive pas à verbaliser, alors imprimer sa souffrance sur sa peau, comme pour faire apparaitre l'invisible, comme des mots sur du papier. On serait soi-même la feuille. Bon oui hum, on va croire que je lance une invitation à la mutilation !
RépondreSupprimerOui le dessin est magnifique- bravo!- mais c'est tellement réaliste que j'ai mal en le lisant
RépondreSupprimerKirikou
L'illustration est trés bien faite et décrit une souffrance à priori indicible. Ça m'a fait également mal en le lisant et j'ai dû vraiment me saisir les poignets en regardant ces dessins...
RépondreSupprimerJe trouve la BD comme moyen d'expression trés trés forte.
Mais je me demande quelle soufrance peut "justifier" et amener à de tels actes et si le fait d'extérioser ce phénomène d'automutilation par le dessin permet de l'éviter, justement en posant ses pulsions destructrices sur le papier. Ou si ce n'est pas suffisant comme semble le regretter l'auteure...
Très belle illustration d'un ressenti qui peut conduire à l'automutilation.
RépondreSupprimerLes phrases sont courtes, mais concises et révélatrices.
Et je trouve intéressant le parallèle (peut-être non souhaité) entre l'impossibilité d'exprimer ses maux d'une manière autre que celle de l'automutilation, et le fait de faire partager si justement l'émotion à travers le dessin.